Entretiens/Interviews


INTERVIEW DE KAYSHA POUR TROPICS MAGAZINE
Kaysha aka Mr. Shada ou Kay est l'une des figures emblématiques du Zouk Afro-carribeen. Il n'est plus à presenter. Kaysha est une star internationale qui nous fait vibrer par ses morceaux. Nous laissons le temps à ceux qui le connaissent ou non de parcourir cette interview...Vous retrouverez une biographie de ce charmant artiste a la fin de cet entretien.Bonne lecture, Venicia GUINOT.



Tropics Magazine:
Hello Kaysha, on dit quoi ?
Kaysha: C'est deja gâté.


T.M: (rires) Parle-nous de toi tr
ès brièvement.
Kaysha: Je suis un artiste habitant sur la planète terre. Plein de rêves et d'ambitions...


T.M: D'accord. Alors Kaysha, comment se sont fait tes d
ébuts en musique?
Kaysha: Un peu comme la plupart des musiciens, en écoutant de la musique puis quand ma mere m'a offert mon premier synthé à l'âge de 7ans, le mariage était consommé.


T.M: As-tu fait partie d'une bande comme la plus part des artistes musiciens? Quels souvenirs gardes-tu de cette p
ériode?
Kaysha: Non, pas vraiment. J'ai tourné avec Jean-Michel Rotin; j'ai eu des crews, mais j'ai toujours été solo, ca me va mieux d'ailleurs.


T.M:
Cool. Au fait, pourrions-nous savoir ton vrai nom, Kaysha?
Kaysha: Pourquoi, ca ne vous plait pas Kaysha?


T.M: (lol) Si si... Nous savons tous que chaque nom a une signification et tr
ès souvent le sens de chaque prénom et nom octroie une certaine identité sur la personne qui le porte. Pourrais-tu nous donner la signification de Kaysha?
Kaysha: Harmonie de l'esprit


T.M: Qui sont tes idoles et avec qui aimerais-tu collaborer dans les ann
ées à venir?
Kaysha: Michael Jackson, mais c'est trop tard on dirait... Après, j'aime collaborer plus avec des gens avec qui je me sens proche plutot que des idoles... La musique n'est pas une question de célébrité. C'est plutôt une question d'inspiration.


T.M: Bien dit! Tu as collabor
é avec pas mal d'artistes afro tels que Teeyah, Dj Jacob, etc. Y a-t-il d'autres non cités? Que dirais-tu a l'endroit des autres qui aimeraient également avoir l'opportunité de collaborer avec toi?
Kaysha: Ah, la liste de mes collaborations prendrait la moitié d'un de vos numeros. J'ai travaillé avec Jacob Desvarieux, Soumia, Abege, Elizio, Nelson Freitas, Loony Johnson, Mika Mendes, Sonia Dersion, Ludo, Warren, Wu Tang Clan, Papa Jube, Jean Michel Rotin, Tanya St Val, Jean Philippe Marthely, Marvin, Marysa, Marcia, Nichols, DJ Arafat, Top One, Anofela et il y en a des centaines d'autres.
Pour travailler avec moi? Eh bien il suffit de me contacter et de voir si la vibe passe.


T.M: 'Kaysha, on dit quoi? On va g
âter le coin!", sais-tu que ce son t'a donné un succès phénoménal du coté de Brazzaville surtout pour restreindre ta célébrité?
Kaysha: Pas que du coté de Brazza. Il a largement dépassé les frontières. C'est ça la musique. Pas de passeport pour une chanson.


T.M:  Combien d'albums as-tu d
éja sorti a ce jour et combien ont déjà remporté un prix?
Kaysha: J'ai sorti 6 albums, j'ai reçu 3 KORAS, une nomination aux MTV awards. Et chaque applaudissement du public est un prix qui vaut milles trophées.


T.M:
Super! On constate avec tes r
écents titres que tu te penches plus vers la langue anglaise et portugaise. Serais-tu en train de tourner le dos à tes fans francophiles et francophones?
Kaysha: J'ai commencé avec des albums 100% en anglais et il n'y a que depuis mon 4eme album que j'ai commencé à ecrire en francais. Donc je dirais plutot que je m'ouvre à ce public. Mais en verité, de nos jours. On s'en fout de la langue. Le public francophone ne demande pas à Shakira de chanter en francais. La bonne musique n'a pas de passeport.


T.M:
Tu as fait les Antilles, Kaysha, peux-tu nous dire le genre de relations que tu as tiss
é avec les artistes locaux de là-bas?
Kaysha: Eh bien j'en ai produit pas mal ou alors composé pour la majeure partie. J'entretiens de très bonnes relations avec eux


T.M: La mort de Michael Jackson a
été un terrible choc pour de nombreux artistes qui rêvaient de faire un tube avec lui...serait-ce ton cas? Avais-tu déjà commencé à gribouiller quelque chose avant de le rencontrer en personne (si et seulement s'il était encore parmi nous)?
Kaysha: J'avais composé un instru pour "This is it". Apparemment il avait bien aimé et j'avais commencé à le peaufiner quand j'ai appris la triste nouvelle... Mais je ne vis pas avec des si... Michael a beaucoup apporté à la musique et je l'en remercie


T.M: Comment d
éfinis-tu ta musique exactement?
Kaysha: Je ne la définis pas justement. Elle s'écoute.


T.M:
Justemet, voil
à ce qui fait ta particularité. Une question assez personnelle mais qui trote les esprits: es-tu marié, célibataire, père...?
Kaysha: J'ai un fils de 7ans et je ne suis pas marié.


T.M:
Tu es un grand pigeon voyageur: quelles sont tes destinations favorites et celles que tu n'aimerais plus jamais revoir?
Kaysha: J'adore New York. C'est une des rares villes où je vais me reposer parfois. Paris j'aime beaucoup, c'est la ville que je connais le mieux. Toronto c'est sympa aussi. J'aime Luanda et Maputo aussi. Il n'y a pas de ville ou je ne veux pas retourner.


T.M: Fantastique! Peux-tu nous pr
ésenter ton label Sushiraw et combien d'artistes
en font d
éjà parti?
Kaysha: C'est un petit label façon guerilla et on aime pas suivre la mode. On la fait ou on passe notre chemin.
En ce moment il y a Kaysha, Aycee Jordan, Elizio, Shana, Abege, Vanda May, Soumia & Mika.


T.M: Comment se fait la distribution de ta musique worldwide?
Kaysha: En ligne voyons


T.M: (lol) Parlons concerts: o
ù en Afrique as-tu déjà joué? Quels sont les artistes locaux avec qui tu as 'team up' pour la réalisation d'un concert? Quels souvenirs gardes-tu de ces soirées?
Kaysha: En Afrique j'ai presque fait tous les pays. Je n'organise pas de concerts, je laisse ça à des professionnels. Les souvenirs varient. Les publics sont toujours pleins d'amour et l'organisation peut etre magnifique comme pourrie, mais on essaye de toujours faire de notre mieux pour satisfaire les gens qui se sont deplacés pour nous voir.


T.M:
Comment traites-tu tes fans dans la vie r
éelle? Les filles, exagèrent-elles quand elles te rencontrent en route? Quelle attitude adoptes-tu envers eux?
Kaysha: Généralement, je suis gentil avec ceux qui le sont. Les gens n'abusent pas, ils veulent généralement une photo ou un autographe ou parfois juste faire la bise ou serrer la main. Ca fait toujours plaisir!


T.M: L'Afrique n'a pas assez
été representé cette année à la Coupe du Monde en Afrique du Sud. Quels étaient vos pronostics de quelle equipe qui gagnera cette coupe?
Kaysha: L'Espagne ha ha ha




T.M: Quelles mesures prends-tu au quotidien face 
à   la piraterie?
Kaysha: Je n'en prend pas. J'essaye d'innover et de gagner ma vie avec ceux qui payent pour la musique et les concerts. Il n'y a jamais eu de moyens de contrer la piraterie, il faut juste apprendre à créer et évoluer différemment avec le marché


T.M: Tes fans de Facebook confessent que tu es toujours pr
ésent sur le net. Une fois, une de tes fans a posté une photo de toi à coté de Fally Ipupa. Elle a organisé un sondage pour voir qui aimait plus Fally que Kaysha et inversement. Et, des heures après, comme tu y étais tagg, tu as fait apparition et n'en croyait pas tes yeux...peux-t-on savoir ce que tu t'étais dit tout bas?
Kaysha: Bah j'ai toujours aimé le net et la possibilité qu'il donne d'être proche des fans et de savoir ce qu'ils pensent d'un morceau ou d'un album. Oui je me rapelle du truc avec Fally; bah on m'a taggué donc j'êtais bien obligé de voir. Après bah j'ai lu quelques avis et c'est tout :)


T.M: On ne l'aurait pas mieux formul
é, en tout cas! Enfin quel est ton dernier mot à l'endroit de nos internautes, au staff de Tropics Magazine et au monde entier? Si possible passe-nous de bonnes adresses à travers lesquelles nous pourrions garder contact avec toi. Merci et bonne continuation !
Kaysha: Merci à tous pour votre soutien. Il n'existerait aucune star sans vous les mélomanes alors mille mercis.

 
xoxo






Andre Machent: Upcoming rising star from South 
Africa (Cape-Town)
  Well, people, I sitted down with Andre Machent and we talked a bit about him, went through his biography and background...He is one of the next public figure South Africa will offer to the world. he is talented and does sing and dance. I will let you read what he sayed to Tropics Magazine on this beautiful day.


"My name is Andre Machent, 21, from Ruyterwacht. I discovered music to be my passion at the age of 10. I have always wanted to be in the music field but never thought that it could happen. It was, is and always will be a dream.
I taught dance at my former high school for a few years, the thought behind that was that if I couldn’t get into the music field with singing I could make it by dancing. However, this shifted my focus I found that I was concentrating more on dancing than singing. I started taking it seriously, I wrote to beats and my friends would produce it. Then the opportunity came of recording a track using my vocals. I did mini promotions at high schools and clubs, just to get my name out there.
Doing music with my friends, I never saw or reaped any of the benefits. The people whom I could work with became limited and I was not connecting with other artists.
Everything seemed to be moving slowly until I found out about Dirtyfunk Productions. Since I started with Dale and his production label I haven’t looked back, because the label itself gave me the platform to meet and work with upcoming, as well as known, artists. I have also been taught the fundamental traits of the music industry.
I have been working on tracks for a while now and according to Dale, we just completed a mega hit that would be a Cape Town banger. I give props to Dale on his production of beats and songs. People need to watch him carefully, because at the rate he keeps making hits people will start recognising his style and genre of music.
Most of the songs that I write relate to things I’ve gone and been through. I also try to write something that people can relate to and not talk about what I don’t have.
I recently launched my first music video. I  acquired the funds on my own, once that was done I started working with a good production team called 5 star productions. Together we made the shooting of the video a success which led to a successful video launch.
One of my high school teachers told me something that has stuck with me all this time and it is what has kept me going: “Reach for the moon and if you don’t succeed, you’ll dwell amongst the stars”.


Now that you know lots of info about Andre, we are inviting you to pay him a visit on his official pages on the net. Please follow these links, he will appreciate to hear from you:





Andre Machent, we wish you all of the best and keep that inspiration of yours flowing like  a river. Hope to do it one more time, until then stay hot!


Venicia Guinot.

 

Interview: Dj Speedhy Kongomusic sur Tropics Magazine


Tropics Magazine: Dj Speedhy,bonjour! Vous êtes un homme talentueux qui n’a pas besoin d’être médiatisé pour que l’on parle de toi. Reconnu de la quasi totalite d’Africains, des anciens aux plus jeunes, vous faites
partie de ces Dj incontournables Congolais (Brazzaville) en France. Acolyte de
nombreux artistes et auteurs compositeurs, vous ne lachez pas l’affaire quand il
s’agit pour vous de collaborer: toujours pres a se tenir derriere le micro et vos platines. Speedhy Kongomusic, est-ce votre vrai nom?

Speedhy Kongomusic:Tout d'abord je souhaiterai remercier Tropics Mag et toute son équipe, pour cet interview et aussi pour toute la peine qu'ils se donnent pour le
rayonnement de la culture africaine...RESPECT!
SPEEDHY n'est que mon pseudo...Fan de Michael Jackson,j'aimais plus particulièrement une chanson de l'album "BAD"..."SPEED DEMON"...alors j'ai commencé très
tôt à signer mes premiers poêmes avec le pseudo "SPEED", qui au fil
des années s'est mué en "SPEEDHY".KONGOMUSIC c'est un clin d'oeil aux
CONGO (Brazza et Rdc);




Tropics Magazine: Tu possèdes
une étonnante diversité musicale, quelles sont tes influences et comment
t’es-tu introduit
à la musique?
Speedhy Kongomusic:
Comme je l'ai dit plus tôt...Au début, je faisais plutôt dans la poésie...et puis
j'ai commencé à écrire des choses qui se rapprochaient un peu plus du rap
en 94. La même année je rencontrais Osti PAFELSON "BOOGIE BLACK" qui
venait de Roumanie et qui m'a aidé à paufiner mon style. On rappait donc chez
moi sur des instrus de Dre,Snoop,Nas... Un jour j'étais aller voir "un
grand " du quartier et en écoutant "Prose Combat" de MC
SOLAAR... je me suis lancé dans un freestyle qui a impressioné son neveu qui
n'était autre que KAYSSEE MONTEJANO (autre grand rappeur congolais). Ce dernier
m'invita à poser les jours qui suivirent un son dans un vrai studio en
compagnie de son groupe le EZ TRIGGAZ ,composé alors de KAYSSEE, OBYMARF, CRAZY S
ET Jé du GANGSTA... Ce fût ma première expérience. Ensuite j'emboitais le pas
avec BOOGIE et Destin"BOOZ", mes collègues de classe pour former mon
premier groupe LA B.SIDE... Avant je ne faisais que du rap... ma diversification
est toute récente,lol.


Tropics Magazine: Oui, c'est bien clair maintenant (rires). Parlez-nous un peu de vos origines, de quel pays êtes-vous originaire et ou habitez-vous
actuellement?
Speedhy Kongomusic:
Je viens du CONGO BRAZZAVILE... de BACONGO plus exactement... 100% BAKONGO... 200%
CONGOLAIS ET 300% AFRICAIN... mais depuis 10 ans je vis à LYON (FRANCE).


Tropics Magazine: Super! Alors du “Biz de Bax”
à “Congo Faro” sans oublier de mentionner, mon son favori “Sexy téléphone”, il n y a qu’un groupe de mots qui vous caractérise “Vous etes un artiste de talent.” Vos
compilations sont dans les bacs, ou peut-on se les procurer?
Speedhy Kongomusic:
En fait je n'ai qu'un maxi 6 titres "KONGOSTYLE",en vente depuis
presque 2 ans... Que j'ai réalisé de bout en bout... De la compo, l'écriture, la prise
de voix et le mixage/conception de la pochette... bref j'ai tout fait. M'étant mis
au deejaying entre temps je me suis ensuite lancé dans le remix avec le succès
que l'on sait...Je me suis donc servi de ces derniers pour lancer le buzz de
mon maxi et de mon nom aussi... Ensuite j'ai eu l'idée d'une sorte de mise à
jour de mon maxi...KONGOSYLE 2.0...que j'offre donc en bonus pour l'achat de
mon CD! Ce dernier est en vente sur mon Skyblog et mon Facebook uniquement...




Tropics Magazine: Merci de nous passer les liens... Il suffit de suivre votre info au quotidien pour se rendre compte que vous suivez bien le cours de actualité. La musique pour vous, est-ce une envie ou une passion qui suit le
courant actuel?
Speedhy Kongomusic:
Tout est question d'inspiration... Autant je vais écouter un bon "Naughty
by Nature" avant de me jeter dans du "Mpongo Love" et finir avec
du "Bob Marley" ou du "Soum Bill"... Pour la compo c'est la
même chose... Quand j'ai fait "SEXPHONE" par exemple...J'écoutais
beaucoup de Denis Graca: artiste de Cabolove (Zouk Capverdien). J'ai fait un
zouk avec une touche hiphop et voilà... c'était l'inspi du jour/du moment. OBAMA
Président???J'écris Génération Obama... car je sentais qu'un truc historique se
passait et que je devais apporter ma contribution...



Tropics Magazine: Justement, vous mettez toujours la puce a l'oreille de vos fans! Speedhy, dites-nous comment se fait la sélection de vos thèmes?
Speedhy Kongomusic: C'est un tout... Ça peut être du vécu,des aspirations, du rêve ou encore de la mythomanie... ça dépend!



Tropics Magazine: Qui produit votre musique et comment se fait la production/distribution de votre musique à travers le monde?
Speedhy Kongomusic:
La quasi totalité des mes ziks est produite par moi même...
à quelques
exceptions près. De même pour exécutive, aussi la distribution se fait par
mes propres moyens via mes blogs et par correspondance... Pas toujours facile
mais on en est là pour l'instant.




Tropics Magazine: Votre récente collaboration sur le titre “Brazza Faro” avec le rappeur 3nerg3tik. Dites-nous
tout sur ce titre: de la sélection du titre
à la collaboration. Réaliserez-vous
un clip pour ce titre?
Speedhy Kongomusic:
Amateur de coupé décalé... j'ai aimé "ABIDJAN FARO" d'Espoir
2000... Alors j'ai voulu relancer le concept pour Brazza avec une instru samplé
du grand Pamelo MOUNKA. Energetik est un rappeur congolais qui traîne du côté de
TUNIS... Je l'ai connu sur le net, je ne l'ai jamais vu... mais on a très vite
sympathisé. La technologie le permettant, il m'a invité sur un son "DISCIPLE
DU MIC", du coup pour "BRAZZA FARO" j'ai directement pensé à
lui...
A l'occaz faites un tour sur son Facebook ou son blog... c'est du bon. Pour le
clip tout n'est qu'une question de moyen... si on les a pourquoi pas!


Tropics Magazine: Oui Tropics Magazine aime bien 3n3rg3tik! Toutes nos salutations, en passant. Y a t-il des Dj’s que vous appréciez particulièrement, lorsqu’ils sont au mixes et qui vous font
revivre des moments nostalgiques?
Speedhy Kongomusic:
BAH là, j'apprécie beaucoup les DJ producteurs comme Martin Solveig ou David
Gueta... Ce dernier force l'admiration... Les plus gands artistes americains se
l'arrachent aujourd'hui... Qui l'eût cru y'a 2 ans??? Il n'a pas cherché
à copier
Timbaland, les Neptunes et autres... Il est venu tel qu'il était... Beaucoup de
travail et un peu de chance... Voila un Grammy Award et des disques de platines!




Tropics Magazine: Vous avez donné des concerts ci et là, et la dernière info que j’ai reçue de vous était ta
participation
à la Fête de la Musique. Racontez-nous un peu le type d’ambiance que vous avez allumée en ce jour précis…
Speedhy Kongomusic:
C'était à Lyon sur une grande place en plein air... il y avait foule. Là, par contre,
c'était plus du deejaying avec de l'animation. J'ai mis de tout... avec une
mention spéciale pour le KUDURO qui a mis le feu... les gens faisaient une choré
et tout... les images ne devraient pas tarder.


Tropics Magazine: Merci d'avance de partager cet album avec nous. Voudriez-vous ou avez-vous déjà joué dans des salles mythiques?
Speedhy Kongomusic:
Pas encore mais on ne perd pas espoir... inch'allah! J'ai raté la première
partie de AKON de très peu à la sortie de mon maxi... donc on garde la foi!


Tropics Magazine: Comme on le dit si bien en Cote d'Ivoire "Tant que y a la vie, on dit toujours y a espoir."
Qui est Dj Speedhy dans la vie? Etes-vous marié, fiancé, libre? J’en connais des jeunes femmes qui sont fans de toi. Il y a une Camerounaise qui m’a posée la question
suivante: “Venicia, est-ce que tu es sure qu’il est vraiment Congolais de Brazzaville?
Parce que la beauté la…” (rires) Maintenant qu’on y est, je compte sur toi pour
lui répondre en direct de Tropics Magazine.
Speedhy Kongomusic:
(rires)Mais ta copine était où depuis tout ce temps là...Elle aussi...On aurait
déjà notre équipe de foot là...Oui j'ai déjà quelqu'un
qui supporte mes hauts et mes bas!


Tropics Magazine: Aha, toutes nos salutations à elle! (rires) Revenons à votre passion, aimez-vous la musique électronique?
Speedhy Kongomusic:
Beaucoup... c'est la musique de la nuit, du club!!!Je pense même que le décalé rencontre un grand succès car elle s'en rappoche beaucoup. Là, je planche sur un
son électro en Lingala... mais je n'en dis pas plus...AFFAIRE A SUIVRE!


Tropics Magazine: Affaire
à suivre. Un dernier
mot…
Speedhy Kongomusic:
Un BIG UP
à TROPICS MAGAZINE... BONNE CONTINUATION ET COURAGE DANS TON
BIZ...VENICIA"Matondo ma mingi"...MERCI DE SOUTENIR SPEEDHY... LE
BONJOUR A LA DIASPORA CONGOLAISE ET TOUTE LA FAMILLE AFRICAINE...MOINS DE
MALICES... PLUS DE COMPLICITé! KONGOSTYLE TOUJOURS DISPO SUR LES BLOGS!!!


Tropics Magazine: Chers surfeurs/lecteurs de Tropics Magazine, nous arrivons donc au terme de cette
interview. Tout a été dit par Speedhy Kongomusic. N le remercions de nous avoir accordée cet interview. Bonne continuation!




Visitez les sites de Speedhy Kongomusic:
Myspace: http://www.myspace.com/speedhymusic
Facebook: http://www.facebook.com/speedhy
Blog:http://speedhymusic.skyrock.com/
Twitter:http://twitter.com/speedhy
Interviewe par Venicia GUINOT, Johannesburg (SA)








KONGOSTYLE...JUIN 2008